Vous souffrez d’insomnie, de céphalées, d’acouphènes, de tachycardie, de jambes sans
repos, de sensations de brûlures, de douleurs articulaires, musculaires, de
vertiges, de troubles de la concentration, de la mémoire, de fatigue excessive… ?
Avez-vous  déjà tenté de réduire votre exposition aux ondes ?

LES RISQUES POUR LA SANTE

L'exposition aux ondes artificielles est-elle dangereuse pour la santé ?

Tout être vivant est conçu pour vivre en présence d’ondes naturelles, celles-ci étant indispensables à notre vie sur terre. Or depuis 150 ans, des ondes artificielles, générées par les nouvelles technologies, ont envahies notre environnement. Ces nouvelles ondes, auxquelles nous sommes soumis en quasi permanence, sont aujourd’hui environ 20 milliards de fois plus fortes que celles de la nature. Notre corps possède certes, une grande capacité d’adaptation, mais peut-il s’adapter aussi vite à un tel changement ?
 
Si régulièrement, les médias diffusent un message officiel rassurant sur l’absence de preuves tangibles de la nocivité des rayonnements électromagnétiques, certains ont toutefois, depuis quelques années déjà, pris certaines précautions, parmi elles, on peut noter :
la plupart des compagnies d’assurances, qui ont exclu de leurs garanties les dommages et maladies directement liés à une exposition aux champs électromagnétiques (CEM).
L’OMS, qui en 2002, a classé les champs électromagnétiques 50Hz en catégorie 2B, c’est à dire “possiblement cancérigènes”, puis également les champs électromagnétiques de radiofréquences en 2011.
– L’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), qui a reconnu, en 2010, un effet possible de l’exposition aux champs électromagnétiques Basses Fréquences sur la leucémie infantile. (Il s’en est suivi, depuis 2013, la préconisation d’éviter l’implantation d’écoles, de crèches ou d’hôpitaux près de lignes à haute tension).
 
 

Pénétration des rayonnements dans le corps humain en fonction de la fréquence

(schéma du Pr Roger Santini, ex-chercheur à l’Institut national des sciences appliquées de Lyon, et ex-membre fondateur du CRIIREM).

les ondes artificielles, un danger pour notre santé

(1) Rayons cosmiques – (2) Rayons Gamma – (3) Rayons X
(4) Ultra-violet – (5) Spectre visible – (6) Infra-rouge

(7) Hyper Fréquences – (8) Radio Fréquences
(9) Très Basses Fréquences – (10) Extrêmement Basses Fréquences

Pr Belpomme, cancérologue et président de l’Association pour la Recherche Anti-Cancéreuse (ARTAC), lors d’un colloque pour la reconnaissance de l’électro-hypersensibilté en 2016.

Quant aux experts scientifiques indépendants, il ne fait pour eux, plus aucun doute, qu’au regard de la norme actuelle officielle, jugée beaucoup trop élevée et totalement inadaptée, l’exposition aux champs électromagnétiques artificiels est, à moyen long terme,  très néfaste pour notre santé. Elle induit des effets biologiques délétères touchant notamment le système nerveux, le système endocrinien, le système immunitaire, l’ADN et la barrière hémato-encéphalique. Un résumé des principaux effets des CEM sur notre santé se trouve dans le rapport Bio-Initiative 2012 (synthèse de plus de 3000 études d’experts scientifiques indépendants).

Tout le monde peut-il devenir sensible aux ondes artificielles ?

Notre organisme est constitué de processus électriques (l’ électrocardiogramme, l’ électroencéphalogramme, et l’électromyogramme nous le montrent bien) en interaction avec des mécanismes biochimiques, il génère et dépend en permanence des CEM naturels pour vivre (CEM de très faible intensité). Nous sommes donc tous des êtres électrosensibles, même si la plupart d’entre nous n’en a pas conscience.
 
Lorsque nous sommes exposés aux CEM artificiels, notamment émis de façon pulsée (technologies sans fil), directionnelle et avec une bien plus grande intensité, notre corps est littéralement bombardé par ces ondes pénétrantes (voir schéma ci-dessus) et nocives. Exposés de façon chronique et/ou excessive, certains d’entre nous peuvent être rapidement affectés, alors que d’autres pourront supporter ces ondes des années sans jamais s’en détourner. Mais attention, ce n’est toutefois pas parce que l’on ne ressent rien qu’il ne se passe rien, sous l’effet d’accumulation de ces ondes, une surcharge peut tout à fait, à un moment donné, entraîner un dépassement du seuil de tolérance, dérégler peu à peu l’organisme, et le faire basculer vers le “Syndrome d’Intolérance aux Champs Electro Magnétiques” (SICEM)

Quelles sont les personnes les plus à risque ?

  • Les nouveau-nés et les enfants :  ils sont extrêmement vulnérables, leur cerveau étant plus petit et leur boîte crânienne plus fine, les ondes le pénètrent  bien plus facilement et bien plus profondément que chez un adulte. (ci-dessous une photo représentant des simulations numériques de crânes de différentes tailles, exposés à un rayonnement identique).
le wifi mauvais pour la santé des femmes enceintes et des enfants
  • Les femmes enceintes :  nos tissus cellulaires étant traversés par les rayonnements, le foetus est facilement affecté.
  • les personnes âgées : leur réparation cellulaire est beaucoup plus lente.
  • les personnes hypersensibles aux molécules chimiques (MCS) : pathologie similaire et souvent lié à l’électro-hypersensibilité.

Quels sont les symptômes de l'électrosensibilité ?

Les symptômes sont très variables d’une personne à l’autre, tout le monde ne réagit pas de la même façon aux champs électromagnétiques, les symptômes les plus courants sont :
 
chez l’adulte : maux de tête, acouphènes, picotements diffus, tiraillements de la peau, sensations de brûlure, démangeaisons, nausées, allergies, asthme, crampes, jambes sans repos, douleurs articulaires, fibromyalgies, tachycardie, hyper/hypotension, vertiges, syncopes, troubles de la concentration, de la mémoire,  irritabilité, troubles du sommeil, fatigabilité, fatigue chronique, sensation de mal-être, stress, angoisse, dépression…
chez les enfants : troubles du sommeil, troubles du comportement (hyperactivité, agressivité, difficultés d’apprentissage).
chez les bébés : cris très nombreux, problèmes de croissance et de développement.
 
Même si tous ces symptômes sont multifactoriels, ils ont été classés dans le “syndrome des micro-ondes” car il a été démontré qu’ils s’atténuent après une diminution de l’exposition.
 
Par ailleurs, il est important de savoir que l’électrosensibilité évolue en 3 phases, les symptômes peuvent :
  • être réversibles au début (en réduisant rapidement et drastiquement l’exposition aux ondes).
  • devenir irréversibles (si l’exposition excessive perdure).
  • évoluer vers des lésions dégénératives (stérilité, maladie d’Alzheimer, de Charcot, de Parkinson, sclérose en plaques, leucémie, cancer du cerveau, du sein, des testicules…).

Qu'est-ce que l'Electro-HyperSensibilité (EHS) ?

On parle d’électro-hypersensibitilé lorsqu’il y a un abaissement du seuil de tolérance (les personnes deviennent intolérantes aux champs électromagnétiques même lorsque ceux-ci sont de très faible intensité), et cette intolérance peut s’étendre à l’ensemble du spectre électromagnétique (une personne initialement intolérante aux Basses Fréquences peut également devenir intolérante aux Hautes ou Hyper Fréquences, et vice versa). Les symptômes deviennent alors quasi permanents et de plus en plus invalidants. A ce stade, le seul moyen de retrouver une bonne santé et une bonne vitalité est d’agir simultanément sur 3 piliers :
– l’éviction de toute source de champs électromagnétiques (elle devra être suffisamment longue).
– l’utilisation de moyens de protection anti-ondes (mises à la terre, blindages de l’ installation électrique et/ou des murs, vêtements anti-ondes…) permettant de se protéger des sources desquelles il est impossible de se soustraire.
– la prise d’un traitement médicamenteux accompagnée d’une très bonne hygiène de vie (alimentation saine, certains compléments alimentaires, exercice physique…), permettant au corps de se régénérer et de se ressourcer.
 
 

Malheureusement, en attendant de pouvoir mettre en place tout cela, la plupart des personnes EHS sont contraintes de quitter leur travail et leur logement, de fuir les zones urbaines pour des zones blanches (zones dépourvues de réseaux mobiles, devenues quasi inexistantes de nos jours). Beaucoup tombent alors dans la précarité, souffrent d’isolement social et d’incompréhension (les familles, amis et même parfois les médecins ayant tendance à penser que le problème doit être “dans leur tête”). Parfois, la souffrance physique et psychique, sont telles, qu’elles conduisent ces personnes à se suicider.

“Cherche zone blanche désespérement”, film documentaire de Marc Khanne – 2013

Selon l’ANSES, l’électro-hypersensibilité toucherait déjà 5% des français, soit environ 3.3 millions de personnes…, mais contrairement à certains pays (Allemagne, Autriche, Suède), la France ne reconnait toujours pas l’EHS comme maladie…

Comment peut-on aujourd'hui continuer à bénéficier du confort de notre monde moderne sans prendre le risque de finir par devenir intolérant aux CEM ou électro-hypersensible ?

Alors que les CEM continuent d’envahir toujours plus notre environnement (5G, nouveaux objets connectés), notre organisme possède lui, un seuil de tolérance certes plus ou moins élevé, mais somme toute limité. Il devient donc impératif d’être vigilant quant à son exposition aux ondes. Cela veut-il dire bannir l’utilisation des nouvelles technologies ?, non pas nécessairement, mais avoir conscience de toutes celles qui posent souci, les utiliser différemment et/ou parfois se protéger des ondes qu’elles émettent, oui c’est évident.

L’application du principe de précaution, préconisée depuis 2011 par le Conseil de l’Europe, est le meilleur moyen pour véritablement parvenir à réduire son exposition aux CEM et se protéger. Basé sur le principe “ALARA” (niveau le plus bas qu’il soit raisonnablement possible d’atteindre), et le respect des valeurs-seuils défini par les normes Bio-Initiative 2012 et SBM 2015, l’application du principe de précaution nous protège des effets nocifs des CEM, même pour des expositions prolongées et même sur le long terme.

Il est tout à fait possible, pour la plupart d’entre nous, de déjà bien réduire son exposition aux ondes en suivant quelques recommandations de base, telles que par exemple :
– mettre son téléphone portable en mode avion le plus souvent possible,
– utiliser un kit main libre ou le haut-parleur plutôt que téléphoner en ayant le portable collé contre l’oreille,
– couper le wifi de sa box quand on n’en a pas besoin….

Mais seule la réalisation d’un diagnostic électromagnétique permet d’avoir toutes les informations nécessaires à une mise en application globale et réellement sûre du principe de précaution au sein de votre lieu de vie et/ou de travail. Ce n’est en effet qu’en détectant et mesurant toutes les sources de rayonnements électromagnétiques présentes dans votre environnement, qu’il est possible d’évaluer correctement votre exposition et d’amener celle-ci sous les valeurs seuils permettant le respect du principe de précaution.

En intervenant au sein de votre lieu de vie et/ou de travail, Ondes environnement vous garantit une réduction de votre exposition aux champs électromagnétiques, (réduction généralement très importante, et que vous pourrez vous-même constater lors des mesures par la différence entre les valeurs AVANT et APRES corrections, affichées sur les appareils).
Ondes environnement NE GARANTIT PAS la diminution ou la disparition de vos éventuels symptômes physiques et/ou psychiques. La réalisation d’un diagnostic électromagnétique ne se substitue EN AUCUN CAS à une consultation médicale, seule en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé.

“Pour préserver votre santé et celle de vos proches, réduisez dès aujourd’hui votre exposition aux champs électromagnétiques”